La liberté de l’expression confinée peut déboucher, suite à une expansion de frustration et du non-respect de notre droit de s’exprimer librement et raisonnablement, à une explosion violente de la société qui, se sentant, lésée et opprimée peut donner suite à une instabilité généralisée.
Museler la bouche des offusqués (eux-mêmes qui, en accomplissant leur devoir civique au législative, ont conduit leurs détracteurs au pouvoir) s’ensuivra un silence dérangeant qui déclenchera sans doute une guerre sur un champ de bataille psychologique de leurs détracteurs.
La subjugation, l’étouffement et la privation d’un droit constitutionnel (Article 12) qui est reconnue par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (Article 19) des Nations Unies se traduiront par un ras-le-bol populaire et sans équivoque de ceux qui les ont servis pour des fins personnels et qui les ont trahis.
Comme quoi, la composition d’une musique par le biais des notes gracieuses et mélodieuses apporteront aux oreilles une symphonie qui plaira aux sens de l’ouï et à l’âme, tandis qu’une manque d’affinité et une dégénération d’une note provoqueront un bruit insupportable ou un requiem.
Et 100 jours pour l’oppression et 1 jour pour la démocratie !
Censurer une voix, c’est une voix perdue!
Censurer une voix, c’est une voix perdue!
La censure, une vie sans lueur !
* Ce monsieur avec une bouche cousue s’appelle Petr Pavlensky. Il est de nationalité Russe et exerce comme Artiste. Les sutures symbolisent la censure et il milite ainsi pour la liberté d’expression.
