En s’appuyant sur
 l’article 57 de la constitution compte
tenu de son prérogative, le Premier Ministre a décidé de proroger la rentrée
parlementaire, soit de repousser l’échéance des vacances parlementaires pour le
16 avril 2012. Avec une majorité peu confortable, des observateurs ou comme
diraient d’autres, des mauvaises langues commence à se délirer en affirmant que
‘le seul maître à bord’ est en
ballottage défavorable et il craint vraisemblablement d’être balancé par-dessus
bord de son navire qui est en train de prendre l’eau. On laisse entendre qu’il
s’est montré farouche quant à une rentrée qui peut, sans aucun doute, lui
couter chère, voir même une destitution surprise. Est-ce que le ‘Tout-Puissant’
nourrit-il la frayeur d’être pris par surprise par une motion de non confiance
de la part de l’opposition, désormais unis ? Autant de questions dont les
réponses ne seraient tardées à faire surface. Ainsi, peut-on dire que c’est la
fin d’un règne ou un simple mouvement de pion dans l’échiquier  politique par le ‘fin stratège en
personne’ ? L’avenir nous le dira !